Dans votre parcours entrepreneurial, quel est le meilleur conseil qu’on vous ait donné — celui qui a vraiment changé votre manière de faire les choses ?
Pour ma part, c’était de participer à un Startup Weekend. À l’époque, je ne connaissais encore rien à l’entrepreneuriat.
À force d’y aller, j’ai découvert des méthodes, des livres, des blogs, et surtout, des personnes inspirantes.
Ces weekends m’ont aussi permis de faire plein d’erreurs de débutant (comme garder mon idée secrète, manquer d’écoute, ou vouloir tout diriger…). Mais au final, c’est plus sain d’apprendre en se trompant sur un projet de 48h que sur sa vraie première boîte.
Entrepreneuriat : Le meilleur conseil qu’on vous ait donné
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- Ancien du TAM
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- Filière : Aucune
Plus dans le cadre d’une gestion de l’entreprise: faire attention à sa trésorerie et son besoin en fond de roulement !
Ca ne parait pas mais c’est la première raison pour laquelle une entreprise peut couler, quel que soit le domaine d’activité.
Ca ne parait pas mais c’est la première raison pour laquelle une entreprise peut couler, quel que soit le domaine d’activité.
Je me souviens d’un passage (je crois que c’était dans Pouvoir illimité d’Anthony Robbins) qui m’a profondément marqué :
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Depuis, je m’appuie souvent sur cette idée. Quand un projet déraille ou qu’un choix me bloque, je prends du recul et je me dis :
« Bon, au pire, quoi ? Le client est mécontent ? Je perds une opportunité ? OK… mais ce n’est pas la fin du monde. Et je ferai tout pour que ça se passe au mieux. »
Ça aide à relativiser, à ne pas paniquer, et à avancer plus sereinement.
Avec le temps, j’ai aussi compris qu’être entrepreneur, ce n’est pas seulement prendre des décisions pour soi, mais aussi pour les autres — collaborateurs, clients, partenaires. C’est pourquoi je crois qu’il est essentiel, autant que possible, de choisir des produits et services engagés et responsables.
Ce genre de choix, en plus d’être cohérents avec ses valeurs, nous renforce dans les moments de doute : on sait pourquoi on agit, et pour qui.
En bref : toujours relativiser, chercher des solutions, et transformer les échecs en leviers pour mieux rebondir — tout en restant aligné avec ce qu’on veut vraiment défendre.
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”En cas de stress, de doute ou face à une décision difficile, demande-toi ce qui peut vraiment arriver de pire. Et tu verras que, la plupart du temps, ce n’est pas si grave.
Depuis, je m’appuie souvent sur cette idée. Quand un projet déraille ou qu’un choix me bloque, je prends du recul et je me dis :
« Bon, au pire, quoi ? Le client est mécontent ? Je perds une opportunité ? OK… mais ce n’est pas la fin du monde. Et je ferai tout pour que ça se passe au mieux. »
Ça aide à relativiser, à ne pas paniquer, et à avancer plus sereinement.
Avec le temps, j’ai aussi compris qu’être entrepreneur, ce n’est pas seulement prendre des décisions pour soi, mais aussi pour les autres — collaborateurs, clients, partenaires. C’est pourquoi je crois qu’il est essentiel, autant que possible, de choisir des produits et services engagés et responsables.
Ce genre de choix, en plus d’être cohérents avec ses valeurs, nous renforce dans les moments de doute : on sait pourquoi on agit, et pour qui.
En bref : toujours relativiser, chercher des solutions, et transformer les échecs en leviers pour mieux rebondir — tout en restant aligné avec ce qu’on veut vraiment défendre.
- scapula
- Ancien du TAM
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- Inscription : 13 sept. 2020, 10:39
- Filière : 3ème année de Médecine
« Le mieux est parfois l’ennemi du bien ». Il faut savoir s’arrêter lorsque le travail est suffisamment bien réalisé car le diable est dans les détails.
Aimer le travailler bien fait c’est une qualité mais le perfectionnisme tant vers le défaut.
80% effort supplémentaire pour seulement 20% d’amélioration
Aimer le travailler bien fait c’est une qualité mais le perfectionnisme tant vers le défaut.
80% effort supplémentaire pour seulement 20% d’amélioration